Vous avez peut-être aussi remarqué que vos rapports avec les autres et surtout avec vos parents ne sont plus vraiment les mêmes qu’avant. C’est ce que l’on appelle la crise d’adolescence, et c’est normal ! 

Les hormones : ces grandes perturbatrices

Pendant la puberté chez les filles, les hormones sexuelles (comme les œstrogènes ou la progestérone) influencent votre humeur et modifient votre comportement. Vous commencez à réfléchir à des choses qui ne vous intéressaient pas il y a encore quelques mois : vous vous posez des questions existentielles, vous développez votre libre arbitre… Vous devenez petit à petit une adolescente. Tout cela vous donne un peu l’impression que votre monde change brusquement. Ça peut être aussi perturbant qu’exaltant !

Les copains d’abord

Mais il y a aussi des côtés positifs comme les amis ! Ils sont de plus en plus proches de vous et vous les considérez presque comme une deuxième famille sur laquelle vous appuyer. Avec eux, vous pouvez tout partager ou presque. Ils peuvent vous comprendre parce que vous vivez la même chose. Bref, pour vous, leur présence est rassurante et peut-être une véritable aide. 

A contrario, l’incursion de vos parents ou leur simple présence, peut vous mettre un peu mal à l’aise. Vous avez même parfois l’impression d’avoir un contact difficile avec vos proches, de ne plus être en phase avec eux. Tout ceci est normal : vos sentiments sont embrouillés et vous êtes à fleur de peau.

Comment gérer la crise d’adolescence lorsqu’on est une fille ?

Essayez de garder votre calme et dites-vous que ces petites transformations ne sont pas non plus évidentes à gérer pour vos parents. Pris dans leur quotidien, ils n’ont peut-être pas le réflexe de se souvenir qu’eux aussi sont passés par là.

Demandez-leur de vous raconter leur expérience. Vous pourriez en retirer des infos intéressantes et des anecdotes assez drôles. N’oubliez pas qu’ils ont été jeunes, eux aussi !